Le Parisien du 13 octobre révèle qu’à chaque crise touchant les transports, les opérateurs de trottinettes et de vélos électriques en libre-service constatent une hausse d’activité. Il précise que cette tendance est encore plus nette en grande banlieue où « la voiture est reine ». Pas à Saint Michel où l’expérience a fait long feu après son lancement au clairon. Il est dommage que le recours aux mobilités alternatives à la voiture se fasse sous la contrainte. Celle du COVID hier, de l’envolée des prix et du manque de carburant aujourd’hui. Surtout, il est regrettable que son développement soit freiné par le manque d’infrastructures, faute d’un réseau cyclable complet, cohérent et sécurisé comprenant une offre de stationnement importante. La Vice-présidente du département chargée des mobilités, notre Maire, affirme que « résorber les discontinuités pour améliorer et sécuriser les dessertes cyclables et piétonnes est un des principaux objectifs ». Nou...