C’est la rentrée, si l’on peut dire d’une situation qui n’a pas réellement connu d’interruption en raison de la pandémie COVID-19.
Vous ne lirez pas notre tribune dans le prochain numéro de « Saint Michel Ma ville » puisqu’à la suite d’une erreur de notre part sur la date de remise du texte, celui-ci a été transmis avec 48 heures de retard. Nous noterons toutefois que ces 48 heures correspondent au samedi et au dimanche, le texte a été fourni le dimanche en fin de journée, et que malgré cela il n’a pas été possible d’obtenir « l’indulgence » pourtant possible puisque l’imprimeur n’a eu le bon à tirer que lundi soir.
Dont acte, les délais sont les délais et nous subissons la rigueur du couperet à moins que ce ne soit le contenu de notre tribune qui l’ait renforcée. Vous pourrez en juger en lisant notre tribune sur notre blog.
Une rigueur que nous aurions souhaitée voire appliquée à nos différentes demandes restées sans réponse depuis plusieurs mois : la communication du plan local de sauvegarde et l’autorisation d’utiliser la place du marché pour une animation que nous projetons d’organiser au mois d’octobre.
Si la seconde peut souffrir l’appréciation de la municipalité sur son bien-fondé, nous nous étonnons du silence concernant la première qui vise, comme nous l’avons indiqué, à mettre à jour ce document qui organise les services publics en cas de crise. Rien moins que de tirer l’expérience vécue de la pandémie liée au COVID-19.
Une préoccupation qui manque peut-être d’actualité…